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Overview: What is herpes?

The information in this section has been gathered from existing peer-reviewed and other literature and has been reviewed by expert dermatologists on the CSPA Medical Advisory Board.

Herpes is a common viral infection that causes uncomfortable blisters on the skin and mucosa. In 50 per cent of cases it lies dormant indefinitely in the body’s nerve cells, where it can later reactivate and cause further blisters. There are two main types of herpes virus: herpes simplex and herpes zoster.

Herpes simplex is the cause of oral and genital herpes, and herpes zoster results in chickenpox and shingles.

The herpes simplex virus (HSV) can be further divided into two types: Type 1 (HSV-1) and Type 2 (HSV-2). HSV-1 is most often responsible for cases of oral herpes, and HSV-2 is most commonly responsible for cases of genital herpes. However, HSV-1 can infect the genital area.

Both HSV types are characterized by the same pattern of infection. The primary infection occurs when the virus first infects an individual. In about 10 per cent of cases, sores or blisters develop. In others, there may be mild or no visible symptoms. The itchy, painful blisters break and form sores that eventually heal. The virus, however, remains in the body.

After a latent period during which the virus remains inactive, patients generally experience several subsequent infections a year. Over time, the severity and frequency of these recurrent infections decrease. Recurrent infections may be triggered by various factors, including fever, stress, excess sun exposure, trauma, or a menstrual period. They may also recur for no obvious reason.

herpes simplex-1herpes simplex-1 herpes simplex-2herpes simplex-2

{jkefel title=[Fast Facts on Herpes Simplex]}

  • Oral herpes affects 50 to 80 per cent of adults in the United States.
  • Up to 90 per cent of adults in the U.S. have the virus by age 50; the majority contracted the virus as children.
  • Genital herpes affects approximately 20 per cent of adults in the U.S..
  • In Canada, over 75 per cent of infected adults with HSV-2 do not have visible symptoms.


{/jkefelend}

Herpes zoster is an acute, localized infection caused by the varicella-zoster virus, the same virus that causes chicken pox. After a chicken pox infection, the virus remains in some of the body’s nerve cells where it lies dormant (inactive) until reactivated. The reactivated virus travels along nerve fibres toward the skin, multiplies, and causes a painful, blistering rash known as shingles. Very rarely, shingles can lead to pneumonia, hearing problems, blindness, brain inflammation (encephalitis) or death. In some cases (usually in the elderly), a painful condition called post-herpetic neuralgia(chronic pain) persists after zoster disappears and can last for many months afterward.

Herpes is not dangerous in otherwise healthy individuals; however, the sores (if present) may be painful. In immunocompromised individuals and newborn babies, herpes can be serious but rarely fatal. Unfortunately, the virus may be spread even when there are no symptoms (asymptomatic shedding). Many infected individuals are not even aware they carry the virus.

herpes zoster1herpes zoster herpes zoster2herpes zoster 

{jkefel title=[Fast Facts on Herpes Zoster]}

  • Most adults (about 90 per cent in developed countries) will have had chickenpox while young and harbour the varicella-zoster virus.
  • The virus can re-emerge at any age. About 20 per cent of the general population experiences shingles.
  • Shingles usually occur only once in a lifetime. Frequently recurring shingles may indicate an underlying immune problem. About 4 per cent of the population experiences it more than once.
  • The incidence of herpes zoster increases after age 50-60.
  • Other populations at risk include those with immune systems weakened by some cancers, AIDS, chemotherapy or radiation treatments, or drugs taken to prevent organ rejection.
  • About 20 per cent of patients with herpes zoster develop post-herpetic neuralgia (chronic pain).

{/jkefelend}

Aperçu général : Qu’est-ce que l’herpès ?

L’information de cette section a été recueillie à partir de matériel existant évalué par les pairs ainsi que d’extraits de littérature révisée par des experts en dermatologie, membres du comité médical consultatif de l’ACPD.

L’herpès est une infection virale commune qui cause des ampoules désagréables sur la peau et les muqueuses. Dans 50 pour cent des cas, il est dormant indéfiniment dans les cellules nerveuses du corps où il peut être réactivé plus tard et causer d’autres ampoules. Il existe deux types principaux de virus de l’herpès : l’herpès simplex et l’herpès zoster.

L’herpès simplex est la cause de l’herpès oral et génital et l’herpès zoster provoque la varicelle et le zona.

Le virus de l’herpès simplex (VHS) peut être subdivisé en deux types : type 1 (VHS-1) et le type 2 (VHS-2). Le virus VHS-1 est généralement responsable des cas d’herpès oral tandis que le VHS-2 est fréquemment à l’origine des cas d’herpès génital. Toutefois, le VHS-1 peut infecter les parties génitales.

Les deux types de VHS se caractérisent par un modèle d’infection similaire. L’infection principale survient lorsque le virus attaque un individu. Dans environ 10 pour cent des cas, des ulcères ou des ampoules se développent. Pour les autres, il peut n’y avoir que de faibles symptômes ou aucun symptôme visible. Les ampoules douloureuses et les démangeaisons qui les accompagnent apparaissent et forment des ulcères qui guérissent éventuellement. Le virus demeure toutefois dans le corps.

Après une période de latence pendant laquelle le virus demeure inactif, les personnes atteintes éprouvent généralement plusieurs infections récurrentes par an. Avec le temps, la gravité et la fréquence de ces infections diminuent. Les infections récurrentes peuvent être déclenchées par différents facteurs, incluant la fièvre, le stress, une exposition excessive au soleil, un traumatisme ou un cycle menstruel. Elles peuvent aussi survenir sans raison évidente.

herpes simplex-1Herpès simplex-1 herpes simplex-2Herpès simplex-2

L’herpès zoster est une infection localisée et aiguë causée par le virus varicelle-zona, le même virus qui cause la varicelle. Après une varicelle, le virus reste dans certaines cellules nerveuses du corps où il demeure dormant (inactif) jusqu’à une réactivation. Le virus réactivé voyage le long des fibres nerveuses vers la peau, se multiplie et cause une éruption douloureuse et des ampoules connues sous le nom de zona. Le zona peut dans de rares cas occasionner une pneumonie, des problèmes d’audition, la perte de la vue, une inflammation du cerveau (encéphalite) ou à la mort. Dans certains cas (généralement chez les personnes âgées), une affection douloureuse appelée névralgie post-herpétique (douleur chronique) persiste après la disparition du zona et elle peut durer pendant plusieurs mois.

L’herpès n’est pas dangereux chez les personnes en bonne santé ; toutefois, les éruptions (si présentes) peuvent être douloureuses. Chez les personnes immunodéprimées et les nouveau-nés, l’herpès peut être grave, mais rarement mortel. Malheureusement, le virus peut être transmis même lorsqu’il n’y a pas de symptômes (excrétion asymptomatique). Plusieurs personnes infectées pourraient ne pas savoir qu’elles sont porteuses du virus.

herpes zoster1herpes zoster herpes zoster2herpes zoster 

Le traitement

Un diagnostic d’herpès oral est généralement rendu à la suite d’un examen visuel fait par un médecin, toutefois un prélèvement ou des tests sanguins peuvent être réalisés pour confirmer la présence du VHS-1.

Comme les symptômes de l’herpès génital varient, les personnes ayant une lésion de tout genre (ampoule, ulcère ou plaie) devraient voir un professionnel de la santé pour des tests. Un diagnostic d’herpès génital est généralement rendu à la suite d’un examen visuel, mais un prélèvement peut être fait pour confirmer le diagnostic. Les tests de laboratoire incluent un examen au microscope et des tests sanguins pour détecter des anticorps au VHS-2.

Le diagnostic de l’herpès zoster peut être difficile à établir avant que les ampoules apparaissent, mais la sensation de douleur sur une bande d’un côté du corps peut être un indice. Toutefois, un diagnostic précis suit typiquement l’apparence d’une éruption combinée à des antécédents de varicelle ou de zona. Des tests ne sont généralement pas nécessaires, toutefois des tests sanguins ou des prélèvements du fluide des ampoules peuvent être faits.

Il n’existe pas de cure pour chacun des types d’infections à l’herpès actuellement. Toutefois, un vaccin qui peut prévenir l’herpès zoster a été approuvé. Cependant, les vaccins ne peuvent pas traiter le zona ou la névralgie post-herpétique une fois qu’ils se sont déclarés.

Bien qu’il n’existe pas de cure pour le virus, les symptômes de l’herpès peuvent être traités.

Plusieurs patients atteints d’herpès oral choisissent de ne pas traiter les ulcères à moins que les poussées soient graves et fréquentes. Les patients atteints d’herpès génital seront plus susceptibles de suivre un traitement. Trois médicaments antiviraux oraux ont été approuvés pour le traitement de l’herpès génital :

  • Acyclovir
  • Famciclovir
  • Valacyclovir

Les médicaments s’attaquent au virus et l’empêchent de se multiplier. Ils sont tous sécuritaires ; la nausée et des maux de tête sont les effets secondaires à court terme les plus communs. Aucun effet secondaire à long terme n’a été rapporté. Les médicaments antiviraux sont généralement prescrits aux patients pour traiter les premières infections, toutefois ils peuvent être utilisés pour des infections récurrentes. Un des médicaments, le valacyclovir, s’avère efficace pour réduire les risques de transmission du virus à une ou un partenaire.

Deux types de traitements sont prescrits :

  • Traitement épisodique: la prise de médicament débute dès les premiers signes (même durant la phase de « signes avant-coureurs ») d’une poussée récurrente et continue durant plusieurs jours. Ceci accélère la guérison et peut prévenir une poussée de se manifester totalement. Certains indices pointent vers le fait qu’il y aurait peu d’avantages à prendre le médicament une fois que les lésions sont apparues.
  • Traitement de suppression: il n’existe pas de médicament antiviral oral pour l’herpès oral. Pour les patients qui souffrent de poussées fréquentes et graves, certains médecins prescriront des médicaments antiviraux oraux approuvés pour l’herpès génital. Deux médicaments antiviraux topiques (onguent aciclovir et crème penciclovir) sont offerts sous ordonnance pour accélérer la guérison des lésions et réduire l’excrétion virale. Des crèmes en vente libre sont aussi offertes, mais seulement une d’elles contenant le docosanol a été approuvée et a démontré accélérer la guérison.

L’herpès zoster disparait souvent sans intervention. Le traitement cible généralement le soulagement des symptômes grâce aux types de médicaments suivant :

  • Médicaments antiviraux: si l’herpès zoster est diagnostiqué tôt, acyclovir ou d’autres médicaments antiviraux peuvent être prescrits pour diminuer la durée de la maladie, minimiser la douleur et réduire les risques de complications. Les médicaments antiviraux peuvent aussi aider les patients dont l’immunité est compromise ou dans les cas de zona graves. Les antiviraux sont plus efficaces si la prise commence dans les 24 à 72 heures suivant le début des douleurs.
  • Corticostéroïdes : les corticostéroïdes comme la prednisone peuvent diminuer l’inflammation et réduire le risque de développer la névralgie post-herpétique, particulièrement chez les patients âgés. Les corticostéroïdes sont prescrits avec prudence et rarement en raison des effets négatifs possibles.
  • Analgésiques (antidouleurs): une douleur légère peut être contrôlée à l’aide de médicaments en vente libre qui contiennent de l’acétaminophène ou de l’ibuprofène. Si la douleur est importante, un médecin peut prescrire un médicament plus puissant.
  • Antihistaminiques : les démangeaisons peuvent être soulagées par l’application de crèmes ou de lotions antihistaminiques topiques (directement sur la partie affectée) ou en prenant oralement un médicament contenant des antihistaminiques.

Traitements naturels : une variété de ce type de traitements est offerte.

  • Des crèmes contenant de la capsicine (extraite des piments) peuvent aider à prévenir la névralgie post-herpétique.
  • Des compresses froides et humides réduisent la douleur.
  • Des bains d’avoine ou de fécule et la lotion à la calamine soulagent les démangeaisons et l’inconfort.

De plus, les chercheurs explorent de nouvelles méthodes pour traiter les virus de l’herpès et leurs complications. Par exemple, le National Institute of Neurological Disorders and Stroke [en anglais] (NINDS) [Institut national des troubles neurologiques et des AVC] réalise de la recherche sur le zona. Également, de nouveaux médicaments et traitements peuvent être testés dans des essais cliniques réalisés à travers le Canada. Pour en apprendre plus sur des traitements potentiels, visitez notre page sur les essais cliniques [French link to CSPA clinical trials page].

Notes :

 *toute l’information de ce site concernant les traitements médicaux est offerte à titre d’aperçu seulement. Pour avoir la liste complète et à jour des effets secondaires, des avertissements, des précautions à prendre, lisez le feuillet qui se trouve dans l’emballage du produit et consultez votre médecin ou un pharmacien.

**Si vous envisagez une thérapie alternative ou complémentaire, discutez-en avec votre médecin d’abord ; tenez votre médecin informé de toutes les vitamines, les suppléments ou autres formes de traitement alternatif que vous suivez. Comme tous les médicaments, les thérapies alternatives peuvent interagir avec les autres traitements et, dans certains cas, avoir leurs propres effets secondaires. Souvenez-vous que « naturel » ne veut pas nécessairement dire « inoffensif ».

Diagnosis and Treatment

A diagnosis of oral herpes is usually made following a visual examination by a doctor, though swab culture testing or blood tests may be performed to confirm the presence of HSV-1.

As the symptoms of genital herpes are variable, people with a lesion of any kind (blister, ulcer or sore) should see a medical professional for testing. A diagnosis of genital herpes is usually made following a visual examination, but swab testing may be conducted to confirm the diagnosis. Laboratory tests include microscopic examination and blood tests for antibodies to HSV-2.

Diagnosis of herpes zoster can be difficult before the blisters appear, but the sensation of pain in a band on one side of the body can be a clue. However, an accurate diagnosis typically follows the appearance of a rash combined with knowledge of a previous case of chickenpox or shingles. Testing is not usually needed but may include tests on blood or blister fluid.

There is no cure for either type of herpes infection at this time. However, a vaccine that may prevent herpes zoster has been approved. However, vaccines cannot treat shingles or post-herpetic neuralgia once they have started.

Although there is no cure for the virus, the symptoms of herpes can be treated.

Many patients with oral herpes choose not to treat cold sores unless the outbreaks are severe or frequent. Patients with genital herpes are more likely to undergo treatment. Three oral anti-viral medicines are approved for treatment of genital herpes:

  • Acyclovir
  • Famciclovir
  • Valacyclovir

The drugs work by attacking the virus and disrupting its ability to multiply. All are safe to use; nausea and headache are the most common short-term side effects. No long-term side effects have been reported. Antiviral drugs are commonly prescribed for patients to treat primary infections, but they can also be used for recurrent infections. One of the drugs, valacyclovir, has been shown to reduce the risk of transmitting the virus to a partner.

Two kinds of treatment regimens are prescribed:

  • Episodic therapy: Medication is taken at the first sign (even during the “warning symptoms” phase) of a recurrent outbreak and continued for several days. This speeds healing and may prevent an outbreak from being fully expressed. Some evidence indicates that there may be little benefit to taking the medication once lesions have appeared.
  • Suppressive therapy: There are no approved oral anti-viral medications for oral herpes. For patients with frequent or severe outbreaks, some physicians will prescribe the oral anti-viral drugs approved for genital herpes. Two topical anti-viral medications (aciclovir ointment and penciclovir cream) are available by prescription to speed up healing of lesions and reduce viral shedding. Over-the-counter creams are also available, but only one, containing docosanol, has been approved and proven to speed healing.

Herpes zoster often disappears on its own. Treatment is usually directed at symptom relief with the following types of medications:

  • Antiviral medications: If herpes zoster is diagnosed early, acyclovir or other antiviral medications may be prescribed to shorten the duration of the illness, minimize pain and reduce the chances of complications. Antiviral medications may also help those patients with compromised immunity or severe cases of shingles. Antivirals work best when started within 24–72 hours after the pain begins.
  • Corticosteroids: Corticosteroids such as prednisone can reduce inflammation and lower the risk that post-herpetic neuralgia may develop, particularly in elderly patients. Corticosteroids are prescribed cautiously and seldom due to possible adverse effects.
  • Analgesics (pain relievers): Mild pain may be controlled with over-the-counter medicines containing acetaminophen or ibuprofen. If pain is severe, a doctor may prescribe stronger medication.
  • Antihistamines:Itching may be relieved by applying antihistamine creams or lotions topically (directly to the body) or taking antihistamine preparations orally (by mouth).

Natural treatments: A variety are available:

  • Creams containing capsaicin (extracted from peppers) may help prevent post-herpetic neuralgia.
  • Cold, wet compresses reduce pain.
  • Oatmeal baths, starch baths and calamine lotion ease itching and discomfort.

In addition, researchers are exploring new methods for treatment for the herpes viruses and their complications. For example, the National Institute of Neurological Disorders and Stroke (NINDS) conducts shingles research. As well, new drugs and treatments may be tested now through clinical trials across Canada. To learn more about possible new treatments, visit our clinical trials page [link to CSPA clinical trials page].

Footnotes

*All information on medical treatments on this site is provided as an overview only. For a complete and up-to-date list of side effects, warnings and precautions, read the product’s package insert and consult your doctor or a pharmacist.
**If you are considering an alternative or complementary therapy, discuss it with your doctor first, and always be sure to keep your doctor up to date about any vitamins, supplements, or other forms of alternative treatment you are taking. Like any medication, alternative therapies can interact with other medications/treatments and, in some cases, have side effects of their own. Remember that “natural” does not necessarily mean “safe.”

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